Après la guerre, les sentiments de tristesse et d’incompréhension des horreurs du monde se sont attardés. Pour ne pas s’enfermer dans un passé qui pourrait prendre le contrôle de sa vie, Ghass cherche à maîtriser les aspects difficiles de son histoire pour les transformer en quelque chose de thérapeutique pour lui-même et pour le grand public.
La peinture devient son exutoire, son principal mode d’expression.
Pendant dix-neuf ans, Ghass limite sa palette à trois couleurs distinctes : le rouge pour refléter le ciel après un bombardement, le noir en souvenir des paysages brûlés et le blanc comme symbole traditionnel de paix et d’innocence.
L'art comme exutoire
Tornade du désert
(2006)
92 x 80 cm
L'air du vide
(2001)
106 x 146 cm
Mirage
(2006)
66 x 86 cm
Pensée vascillante III
(2008)
88 x 108 cm
Pensée vascillante II
(2008)
88 x 108 cm
Pensée vascillante I
(2008)
88 x 108 cm
13 ou le chiffre du bonheur
(2008)
90 x 111 cm
Niloufar
(2008)
Tranquillité
(2010)
185 x 225 cm
En partenariat avec le fabricant de couleurs Pébéo.